C I N É M A ,  V I D É O 

&  P H O T O


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PEINDRE LE PARADIS


        Musique de film documentaire, oscillant entre trames électroniques, évocations paradisiaques, distortion des enfers, et irisation rédemptrices du purgatoire... ponctuées d'inventions d'orgue, de préludes de harpe, ou encore de sonates de clavecin, qui accompagnent et interprètent les œuvres plastiques médiévales, classiques, ou baroques.

            À quoi ressemble le paradis ? La représentation du paradis occupe une place centrale dans l'art en Occident. De l'école italienne à l'école flamande, différentes représentations ont symbolisé des tournants majeurs dans l'histoire de l'art. C'est, par exemple, en imaginant le paradis que les peintres ont introduit la nature dans leurs tableaux. Au XVIIe siècle, la parfaite maîtrise de la perspective et du trompe-l'oeil a produit l'illusion d'un mouvement de la Terre vers le ciel. Pour comprendre comment les artistes ont représenté le paradis terrestre ou céleste, la réalisatrice Florence Mauro nous emmène en voyage, sous la forme d'un documentaire à la fois historique et géographique, véritable enquête artistique, qui évoque sous un jour nouveau des tournants de l'histoire de l'art.
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Première diffusion Arte le   26 juillet 2015, 17h35 - Projection à la   SCAM   janvier 2016.TV Suomi24, Finlande.
Production ARTE France et Zadig Productions - 55mn - HD 16/9 - Disponible en DVD - VOD sur Arte.


Florence Mauro, réalisation - Gertrude Baillot, image
Claire-Anne Largeron, Son - Arnaud Sallé, composition musicale.

• Durée : 55' • Stéréo •




Extrait, Paradis Céleste perdu, Paradis Terrestre déjà troublé, entre Jardin des Délices et le Nef des Fous... - © Arnaud Sallé - All rights reserved - 



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Photo © Gertrude Baillot - All rights reserved






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L'HOMME QUI MARCHE

        Musique de film essentiellement composée, interprétée et réalisée à la guitare acoustique. Sa rondeur, son onctuosité, ses résonnances doucement étouffées parfois et ses suspensions poétiques égrenées s'installent en contrepoint léger, préservent délicatement les aspirations intérieures, face aux épisodes successifs qui mèneront au tragique destin de l'écrivain russe Viktor Atemian.


« Au fur et à mesure que le temps passe, Saint-Germain-des- Prés s'embourgeoise : les plans s'élargissent, accusant la fragilité de la silhouette, brindille peu à peu dévorée par son environnement. Fantôme filiforme dans une ville en voie de momification, l'artiste est plus que jamais seul et incompris. De ce point de vue, le dernier plan du film est à couper le souffle. Capturé dans le cadre, tout y est: la violence des villes, la solitude des êtres et, surtout, le temps qui passe.»

Mathilde Blottière, pour Télérama★★★★★ - Critique lors de la sortie en salle le 09/01/2008.


    «Un premier film sobre et original sur l’impossibilité de vivre dans la marge dans nos sociétés.»
Jean-Baptiste Morain, pour Les Inrocks - ★★★★★

   «Aurélia Georges a bien choisi la gueule et le profil qui personnifient son propos. Premier film s'interrogeant sur le destin d'un artiste à Paris entre 1973 et 1998, L'homme qui marche n'existe pas sans César Sarachu, acteur évoquant les silhouettes spectrales du sculpteur Alberto Giacometti.»
Jean-Luc Douin, pour Le Monde - ★★★★

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Production : Château-Rouge Productions. Avec le soutien de Shellac Productions et du CNC. Fiction 35mm - 2006.
Diffusion : Sélection Acid, Sélection au Festival de Cannes 2007. Prix de la Critique aux Rencontres de Cinéma de Paris. Cinéma des Cinéaste, Paris (Septembre 2007), Nouveau Réalisateur primé au Festival de San Sebastian, Italie (nouveaux auteurs, septembre 2007), Festival du Film Francophone de Tübingen, Allemagne (Compétition, novembre 2007). Sortie nationale le 9 janvier 2008 à Paris. Edition DVD 2011 (Epicentre Films).


Aurélia Georges, réalisation - Arnaud Sallé, musique originale.
Laurent Gabiot, son - Hélène Louvart, image.

Avec César Sarachu, John Arnold, Mireille Perrier, Judith Henry, Florence Loiret-Caille.

• Durée : 1h22' • Dolby Digital Stéréo •


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Photo © Hélène Louvart - All rights reserved







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Terres Vaines

        Musique de film expérimental, fondée sur la dégradation lente, la dissolution, l'effacement très progressif des matériaux sonores, pour parvenir à une ligne musicale intangible, blanchie, indicible, érodée jusqu'à sa complète disparition...

    Réminiscences de pays disparus et de leurs frontières fantômes...

[...] Je m’assis sur la plage
Pour pêcher, la plaine aride derrière moi
Mettrai-je au moins de l’ordre dans mes terres ? [...]


The Waste Land, T.S. Eliot

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Production : Production Centre de Rotation/ Gyroscope - 2012.
Diffusion : Festival Côté court de Pantin; Images contre nature – Marseille, Signes de nuit - Paris; Festival des films différents et expérimentaux de Paris; émission la 23e dimension sur la chaîne n° 23; Séance de la SCAM au Festival Futur en Seine. Festival Côté Court, Pantin, Juin 2014.


Augustin Gimel et Brigitte Perroto, réalisation - Arnaud Sallé, musique originale.
Alexandre Koutchevsky, texte.

• Durée : 12' • Stéréo •



Extrait, érosions d'une voix perdue au fil d'une énumération infinie des frontières intangibles... - © Arnaud Sallé - All rights reserved - 


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Photo © Augustin Gimel - All rights reserved







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LE RAVISSEMENT

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        Musique pour un moyen-métrage de fiction, bâtie sur un drame intimiste. À l'occasion d'une messe en mémoire de sa fille, Yves retrouve Sandrine, qu'il a sauvée de la noyade. Hanté par le souvenir de cette première rencontre, Yves s'interroge sur ce que recherche cette jeune femme en revenant vers lui et tente de retrouver sur son visage ce qui l'avait frappé alors qu'elle était inconsciente : une expression de sérénité bienheureuse...




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    Après la composition des musiques de son premier court-métrage «L'Étoile Cinéma» en 1998, puis des interventions sur «La Lisière» (volontairement dénué de musique) en cours de travail et réalisé en 2001, Raphaël Jacoulot me propose de composer les musiques du film «Le Ravissement», premier moyen-métrage très remarqué, notamment lors de la semaine de la Critique à Cannes, et recevant ensuite plusieurs prix. En 2006 sort alors «Barrage», son premier long-métrage, présenté aux festivals de Berlin et de Namur (primé). Quatre ans plus tard, Raphaël Jacoulot met en scène Jean-Pierre Bacri et Sylvie Testud dans un thriller intitulé «Avant L'Aube», puis réalise en 2015 le film «Coup De Chaud» avec Jean-Pierre Darroussin, notamment primé aux festivals de Beaune et de Turin.
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Production : FEMIS - Fiction 35mm - 2001.
Diffusion : Debut-Kinotavr, Shortmeter/ Moscou, 2002. Festival Côté Court/ Pantin, 2002. Festival Premiers Plans/ Angers, 2002. Festival de Dinard, 2001. Festival de Belfort, 2001.
Sélection officielle Semaine de la Critique à Cannes, Salle Jean Renoir/ Femis/ Paris, Cinéma des Cinéastes/ Paris.


Raphaël Jacoulot, réalisation - Lise Machebœuf, Raphaël Jacoulot, scénario.
Marie Poitevin, Directeur photographie - Rym Debbarh-Mounir, Ingénieur du son.
Philippe Jacquier, Décors - Mirjam Strugalla, montage.
Valérie Manns, Raphaël Jacoulot, Catherine Klein, interprètes.
Arnaud Sallé, musique originale et création sonore.

• Durée : 28'18" • stéréo •


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EXTRA-CORPUS

        Musique électronique pour un film expérimental, notamment fondée sur la transposition musicale de l'effet de persistance rétinienne, qui est au cœur du colossal processus de montage de dizaines de milliers d'images différentes et successives, employées pour ce singulier tryptique vidéo.

    Outre l'attention portée au tissage de la composition sur le plan des continuités dramaturgiques et psychovisuelles menées sur trois écrans simultanés, la rythmique intrinsèque et palpitante de ce film conçu image par image m'a également conduit à rechercher une voie comparable dans le domaine de la composition musicale. Face à la difficulté, voire l'impossibilité de strier et hâcher la matière sonore au rythme exact de 25 échantillons par seconde, avec les outils existants, sans pour autant créer d'artefacts audibles (notamment à la fondamentale de 25hz et ses harmoniques, problème relevant à la fois des principes fondamentaux de la modulation de fréquence et de la psychoacoustique), j'ai du développer un logiciel spécifique, sous Max/MSP® (Logiciel IRCAM), pour parvenir à recréer avec succès la stridulation haute-fréquence escomptée, en jouant notamment sur l'alternance permanente entre canal gauche et canal droit, afin de diviser par deux la fréquence induite, et ainsi de la rejeter en dehors du spectre utile et de la perception (soit 12,5Hz). Le phénomène impressionnant est particulièrement sensible lors d'une écoute au casque, mais encore plus face à des hauts-parleurs assez écartés (ce qui correspond aux conditions réelles de l'installation).

De la multitude, donner naissance à un corps neuf.

Insuffler vie et mouvement aux peintures.

Un corps composé de mille corps.

Un corps affranchi de la matérialité et de la pesanteur.

Un corps aux possibilités infinies.


Augustin Gimel

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Production : Production Centre de Rotation/ Gyroscope - 2004. Jörg Schulze (Cine+), Holm Keller (McKinsey&Cie)
Diffusion : Lange Nacht der Museen/ Humbolt Université/ Berlin, 2004. Berlinades, Johannes Kirsche/ Berlin, 2005, Mk2 Beaubourg/ Paris 2006, Abbatiale Saint-Ouen/ Rouen/ Journées du Patrimoine, octobre 2007.
Disponible à la vente (DVD), et en VOD haute définition (Heure Exquise).


Augustin Gimel, réalisation - Arnaud Sallé, musique originale.

• Durée : 9'39 • Triphonie sur système stéréophonique •



Extrait, fragment emblématique de la scansion rythmique à très haute fréquence, touchant aux limites de l'illusion auditive... - © Arnaud Sallé - All rights reserved - 


Photo © Augustin Gimel - All rights reserved







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LIEU DE PASSAGES

           Musique pour installation interactive et photographies, avec Hervé Rabot, photographe.

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Hall de la Nouvelle Mairie/Pantin (3 semaines), juin 2000. Édition Cd-Rom Mairie de Pantin/Le Métafort : "Vu, lu, et entendu d'ici", 2001.


Hervé Rabot, photographies - Arnaud Sallé, composition musicale.


• Durée : 8'20" • Stéréo •


Extrait, entre deux passages, passerelle (sus)pendue de stries blanches, écluse béante d'une confluence d'asphalte... - © Arnaud Sallé - All rights reserved - 


Photo © Hervé Rabot - All rights reserved








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ENVOL

   Musique électronique vertigineuse, composée pour un film documentaire de Mirjam Strugalla, réalisé en 2001 à partir d'un grand nombre de fabuleuses et rares images d'archives, aimablement prêtées par le Centre National d'Études Spatiales (CNES), et avec la collaboration complice des astronautes français Claudie André-Deshays et Jean-Pierre Haigneré. Plus qu'un document, une aventure en apesanteur à vivre tout autant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la station MIR, détruite quelques mois après, qui reste encore aujourd'hui une référence exceptionnelle sur le sujet.

    Documents visuels et sonores exceptionnels, au sein desquels la musique cherche à recréer les sensations d'apesanteur, de vertige, et de chute...
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Production et diffusion : FEMIS, ARTE, Planète, Cinéma des Cinéastes/ Paris.

Mirjam Strugalla, image, montage, réalisation - Arnaud Sallé, composition musicale.

• Durée : 4'40" • stéréo •



Extrait I    -    Photo © Archives CNES - All rights reserved



Extrait II    -    Photo © Archives CNES - All rights reserved



Extrait III    -    Photo © Archives CNES - All rights reserved



Extrait IV    -    Photo © Archives CNES - All rights reserved





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ALVÉOLES

« Ce que je voulais c'est être heureux »

   Composition électroacoustique pour projecteur 16mm et une photographie filmée d'Hervé Rabot, présentée lors de la dernière ouverture au public avant démolition de l'historique et emblématique Bourse du travail de Gennevilliers, haut-lieu de résistance syndicale des années 50.

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Bourse du Travail de Gennevilliers (2 semaines) - Juin 2001. Avec le concours de la Marie de Gennevilliers.

•••••►   25 & 26 novembre 2017 -  Installation à la Bibliothèque Nationale de France - Foyer du Grand Auditorium



Hervé Rabot, photographie filmée en 16mm - Arnaud Sallé, composition musicale.



• Durée : 17'35" • 7.1 •


Extrait saisi en plein élan, depuis le projecteur 16mm, avant d'aborder les explorations d'abstraites singularités et solitudes humaines... - © Arnaud Sallé - All rights reserved - 


Photo © Hervé Rabot - All rights reserved








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LES PROMENEURS

   Musique instrumentale contemplative (clarinette basse, piano) et électronique diaphane, pour un film d'Olivier Marty, réalisé en 2011 lors d'une résidence d’été et une exposition au centre d’art de la Ferme du Mousseau, à Élancourt. Les ambiances et sons directs ayant été volontairement écartés, le cheminement lunaire de la musique en constitue la seule dimension sonore...

    À partir de deux promenades au bord des étangs de la Muette à Élancourt, mettant en jeu une chorégraphe et une danseuse, une succession de règles du jeu incitent ces partenaires à s’approprier le lieu, que ce soit dans une grande dépense d’énergie ou dans une grande concentration. Ces moments dans le paysage, légers et intenses, donnent l’impulsion à la résidence, durant laquelle s'entremêleront les moyens d’expression. Dessin, peinture, photographie, et vidéo suggèrent la possible sensualité de notre relation au paysage.
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Production et diffusion : Centre d’art de la Ferme du Mousseau/ Élancourt, 2011.

Olivier Marty, image, réalisation - Arnaud Sallé, composition musicale.

• Durée : 4'40" • stéréo •



Extrait suave et suspendu, prélevé entre l'écorce et l'aubier, l'irisation fragile de l'invisible sève... - © Arnaud Sallé - All rights reserved - 


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Photo © Olivier Marty - All right reserved





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L'ÉTOILE CINÉMA

        Musique pour le premier court-métrage de Raphaël Jacoulot, tourné au sein d'un cinéma de banlieue abandonné, et dans lequel gît encore un vieux piano désaccordé, vestige fantômatique d'une époque révolue...

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Production : FEMIS - 1998. Fiction 16mm.

Diffusion : Cinéma des Cinéaste/ Paris.


Raphaël Jacoulot, réalisation - Arnaud Sallé, composition musicale.


• Durée : 9' • Stéréo •


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Photo © Matt Lambros - All rights reserved




 

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DE GRÉ OU DE FORCE

Chronique d'une catastrophe annoncée 

       Musique pour un documentaire "en action", trilogie ménée sur plusieurs années de Sylvain Verdet sur la résistance et l'expulsion douloureuse et traumatique, jusqu'au dernier des habitants du village de l'Île Falcon, dans les hauteurs de Grenoble, et plus précisément situé au pied du Mont Granier, pour cause de risques d'effondrement majeur et de catastrophe naturelle.


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Photo © Le Dauphiné - All rights reserved


  Le hameau de l'île Falcon, à 20 kilomètres de Grenoble, est évacué et rasé parce qu'un effondrement "prévisible" de la montagne semble menacer ses habitants. Après le départ de la majorité d'entre eux, quelques couples avec des enfants, des ouvriers en retraite refusent toujours de croire aux prédictions catastrophiques. De réunions en manifestations, ils organisent la résistance. Grand gaillard de 70 ans, Paul connaît bien la montagne. Jamais il ne partira. Il se sent libre. Et même si la montagne tombe, il sera heureux de périr sous les pierres. Ainsi, il mourra là où il est né...

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Production : Les films du Barbue - 1998 - 2000. Distribution Jakaranda.

Diffusion : Cinéma des Cinéaste/ Paris - l'Île Falcon / Grenoble - Salle Jean Renoir / Femis / Paris.


Sylvain Verdet, réalisation - Arnaud Sallé, Création sonore et musicale.


• Durée : 57' • Stéréo •








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L'AMOCO CADIZ, 20 ANS APRÈS

        Musique pour un documentaire de Stéphane Druais, retraçant les conséquences dramatiques de la catastrophe pétrolière sur les écosystèmes marins, et leur reconstruction progressive.


Stéphane Druais, réalisation - Arnaud Sallé, création sonore et musicale.


• Durée : 52' • Stéréo •


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  Dans la nuit du 16 au 17 mars 1978, le super tanker "Amoco-Cadiz" vient s'échouer sur les côtes de la Bretagne nord, à quelques milles du petit port de Portsall, laissant se répandre plus de 220 000 tonnes de pétrole. La plus grande marée noire du siècle commençait. À l'occasion du vingtième anniversaire de l'accident de l'"Amoco-Cadiz", ce documentaire présente un bilan des travaux scientifiques et des avancées techniques suscitées par les différentes marées noires depuis deux décennies. Ainsi, on peut dresser un état des lieux sur l'évolution de la recherche en biologie marine et sur les moyens préventifs et curatifs à disposition . "Amoco-Cadiz, 20 ans après" répond à plusieurs interrogations : avons-nous progressé ? Que ferait-on maintenant en cas de nouvel accident ? Avons-nous acquis une expérience profitable dans les domaines biologiques, chimiques et technologiques ?

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Production : Lieurac Productions - ARTE / La 5ème - 1997. Avec le soutien du CNC.




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TRACE II 

      Traces II, pour alto solo et électronique temps réel, composée par Martin Matalon pour le film «  Las Hurdes  » (Terre sans pain, 1933) de Luis Buñuel, est une œuvre construite formellement à travers l’idée de multiplicité: des motifs instrumentaux captés et circonscrits en direct vont connaître une série de ramifications, de résurgences, ébranlant le poème cinématographique de sa poignante horlogerie musicale.

  Cette œuvre dont j'ai réalisé la partie «électronique temps réel» a été créée en ciné-concert à l'Auditorium du Louvre par Odile Auboin à l'alto, et Michaël Lonsdale en récitant. La collaboration avec Martin Matalon fut dense et joyeuse: un tel climat de complicité a sans aucun doute favorisé l'aboutissement des audaces et fulgurances dont regorge cette pièce, et dont nous avions rêvées.
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Coproduction IRCAM, Musée du Louvre - RMN, Centre National de Création Musicale de La Muse en Circuit.
Diffusion : Création Auditorium du Louvre, mai 2005. Festival Manca/Nice 2005, Festival du court-métrage/Quartz/Brest 2005. Festival Extension du domaine de la note III/Muse en Circuit/ Théâtre de Cachan mai 2006, Théâtre de Créteil mai 2006, Université de Rome février 2007, San Martin Theatro, Buenos-Aires novembre 2007, etc.



Martin Matalon, composition - Arnaud Sallé, réalisation électronique temps réel

Odile Auboin, alto solo - Michaël Lonsdale, récitant. 

• Durée : 40' • Multipiste 6.1 •



Extrait central, l'alto solo est entouré d'un vaste ensemble électronique généré en temps réel, à partir des notes même de l'instrument... - © Arnaud Sallé - All rights reserved - 


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Photo © Luis Buñuel - Public Domain









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